22 octobre 2006
Funestes dimanches
Funestes dimanches
Quelle est cette tristesse envahissante
Qui comme un nuage gris le ciel obscurcit
Funestes dimanches à l'ambiance accablante
Où l'on ne voit que grandes peines et oublis
Ces places vacantes, toujours en attente
D'une chère présence qui anéantirait l'ennui
Une aura rayonnante, une voix différente
Qui transformerait les limbes en paradis
Voir jaillir du néant, des visages, des bruits
Des bras accueillants, des sourires ravis
Voir le gris dispersé, dans le ciel une embellie
Dissipant d'un coup la brumaille et la pluie
Publicité
Commentaires
D
M
M
M
D